Cinco bulos sobre el coronavirus desmentidos por la OMS

1. ¿ El coronavirus se propaga a grandes distancias a través del aire ?

Es falso. La OMS ha asegurado que se propaga a través de las gotas de saliva que se generan cuando una persona infectada tose o estornuda, o a través de secreciones de la nariz. Dichas gotas de saliva son demasiado pesadas para propagarse a largas distancias, pues estas solo llegan hasta un metro de distancia.

2. ¿ Puede sobrevivir en una superficie durante horas ?

Es verdadero. Un objeto puede resultar contaminado por el virus si una persona infectada tose o estornuda encima del mismo o lo toca.

3. ¿ Los antibióticos no son eficaces para tratar la infección del coronavirus ?

Es verdadero. No hay pruebas de que estos puedan prevenir o tratar la infección. De modo que, los profesionales recomiendan no tomar ningún medicamento específico.

4. ¿ Se pueden reutilizar las mascarillas ?

Es falso . Si se ha estado en contacto con una persona infectada, la parte frontal de la mascarilla está contaminada.

5. ¿ Las vacunas contra la neumonía no protegen contra el coronavirus ?

Es verdadero. La OMS ha asegurado que no hay evidencias de que las vacunas destinadas a prevenir o tratar la neumonía sean efectivas contra esta nueva enfermedad.

¿Ha sido el «Coronavirus» creado en un laboratorio?

El «coronavirus» a día de hoy está causando numerosos incidentes en la población mundial. Este hecho ha causado que surja una fracción de la población que opina que el coronavirus ha sido creado en un laboratorio. Varios estudios han desmentido ya esta afirmación, estos estudios aseguran que la mutación a este virus se originó por procesos naturales, debido a un cambio en una porción de una proteína que adquirió para atacar eficazmente. Aún con estos datos, a día de hoy aún no se sabe cual puede ser la causa de este virus. Y tú, ¿Cómo crees que surgió?

FAKE NEWS

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Siempre han existido las noticias engañosas, pero a partir de la emergencia de Internet y de nuevas tecnologías de comunicación e información, las Fake News han proliferado a lo largo y ancho del planeta. Este término es utilizado para conceptualizar la divulgación de noticias falsas que provocan un peligroso círculo de desinformación. Las redes sociales permiten que los usuarios sean productores y consumidores de contenidos a la vez, y han facilitado la difusión de contenido engañoso, falso o fabricado. Así se genera un circuito vicioso, y una noticia falsa se replica miles de veces en cuestión de segundos.

Las Fake News

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¿Qué son las Fake News?

Las Fake News son un tipo de noticias falsas, es decir, información creada como si fuese real con la intención de desinformar. El objetivo es manipular a las personas y difundir bulos específicos sobre temas por diferentes portales de noticias: prensa, redes sociales etc….

Por definición, es un concepto que se centra en crear una mentira y la difusión para lograr un engaño con fines políticos o ideológicos.

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No, Manuela Carmena no ha dado positivo en coronavirus.

Se ha viralizado un tuit de una cuenta falsa que se hace pasar por la de El País y en la que alerta sobre una «última hora: la exalcaldesa de Madrid, Manuela Carmena, da positivo en Coronavirus». Algunos medios de comunicación lo han dado como cierto y han publicado contenidos afirmando que «Manuela Carmena también tiene en coronavirus» para lucrarse. Esto se trata de un bulo. La cuenta que ha publicado esto ha cambiado su nombre y su avatar para hacerse pasar por El País. La cuenta oficial de El País fue creada en 2007, mientras que esta lo fue en 2017.

Actualmente, este tuit se encuentra borrado. Algunos programas que han dado esta noticia como cierta ya se han retractado y han pedido perdón por publicar noticias falsas. Este es el caso de Espejo Público.

Bel-Ami y la canción

La novela Bel-Ami de Maupassant también ha inspirado al mundo de la música.

Aquí está el texto de la canción Bel-Ami de Tino Rossi, en la que la referencia a la novela es evidente:

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Dans les salons, au temps de Maupassant,
Sur bel ami chaque femme en passant
Se retournait espérant la promesse
De son regard doux comme une caresse
Et sur les pas du tendre séducteur
Dont le renom fut de briser les coeurs
On entendait comme un frisson
Chanter cette chanson…

Bel Amant, Bel Amour, bel ami
Follement, chaque jour bel ami
Tu conduis sur tes pas
Une femme qui tout bas
S’est jurée de tomber dans tes bras
Ton pouvoir est si grand, bel ami
Ton doux charme a conquis
Tous les coeurs du grand Paris
Bel Amant, Bel Amour, bel ami


Si vous trouvez dans un livre oublié
De bel ami le vieux portrait fané
En souriant de son ancien panache
De son air vain, de ses belles moustaches
Si vous croyez encore que grand destin
Des beaux amants dont chacun se souvient
Sans bien comprendre, il vous faudra
Dire en riant, voilà…


N-i, ni, c’est fini, bel ami…
Reste ainsi dans l’oubli, bel ami…
Si tu fus adoré
Garde l’attrait du passé
Aujourd’hui tu parais démodé
En raillant ton portrait, bel ami
Le vieux temps qui semblait si joli
On se dit, plein d’ennui:
«Non vraiment, c’était donc lui?»
Bel Amant, Bel Amour, bel ami
.

Y aquí está el texto de la canción «Je suis le plus beau du quartier » de Carla Bruni, que describe a un hombre que bien podría ser Georges Duroy, el protagonista de la novela:

Regardez-moi
Je suis le plus beau du quartier
J’suis l’bien aimé
Dès qu’on me voit
On se sent tout comme envouté
Comme charmé, hum
Lorsque j’arrive
Les femmes elles me frôlent de leurs
Regards penchés
Bien malgré moi, hé
Je suis le plus beau du quartier, hum, hum, hum

Est-ce mon visage
Ma peau si finement grainée
Mon air suave
Est-ce mon allure
Est-ce la grâce anglo-saxonne
De ma cambrure
Est-ce mon sourire
Ou bien l’élégance distinguée
De mes cachemires
Quoi qu’il en soit
C’est moi le plus beau du quartier, hum, mais

Mais prenez garde à ma beauté
A mon exquise ambiguïté
Je suis le roi
Du désirable
Et je suis l’indéshabillable
Observez-moi, hum, hum, hum
Observez-moi de haut en bas
Vous n’en verrez pas deux comme ça
J’suis l’favori
Le bel ami
De toutes ces dames
Et d’leurs maris
Regardez-moi

Regardez-moi, hum, hum
Je suis le plus beau du quartier
J’suis l’préféré
Mes belles victimes
Voudraient se pendre à mes lacets
Ca les abîme
Les bons messieurs, eux
Voudraient tellement m’déshabiller
Ca les obstine
Bien malgré moi, oui bien malgré moi
Je suis le plus beau du quartier, mais

Mais prenez garde à ma beauté
A mon exquise ambiguïté
Je suis le roi
Du désirable
Et je suis l’indéshabillable
Observez-moi, hum, hum, hum
Observez-moi de haut en bas
Vous n’en verrez pas deux comme ça
J’suis l’favori
Le p’tit chéri
De toutes ces dames
Et d’leurs maris
Aussi, oui

Bulos sobre el «coronavirus»

El «coronavirus» se ha convertido, sin lugar a dudas, en una de nuestras mayores preocupaciones en estos momentos. La información que recibimos es incesante y parece ser que no todo lo que se cuenta respecto a este asunto es cierto, a juzgar por lo publicado en la web de Newtral, que pretende desmontar algunas de las «fake news» aparecidas en relación al «coronavirus».


[Newtral]: El coronavirus de Wuhan: epidemia mundial de bulos

Maupassant et le journalisme

Voilà un extrait de l’article “Politiciennes” (1881) signé «Maufrigneuse» et publié dans le Gil Blas qui pourrait faire allusion au personnage de Madeleine Forestier :

(…)Mais la politique, science de second ordre, où le flair instinctif, la rouerie naturelle, la séduction, l’habileté, les finesses et les subtilités triomphent sans cesse des raisonnements les plus sains, se prête infiniment bien au développement complet de toutes les qualités natives de la femme. Faible, mais armée de ruse pour lutter contre notre force, cuirassée de charme et de grâce pour combattre notre fermeté, insinuante pour triompher de notre logique, subtile et pratique, peu influencée par les grandes théories philosophiques, humanitaires et ronflantes, elle a su être souvent la conseillère cachée, utile et ferme de bien des grands hommes qu’elle guidait, dans l’ombre, de ses conseils.

On pourrait même, je crois, prouver, l’histoire en main, que fort peu de politiciens ont échappé aux influences féminines. Dans notre patrie, principalement, pays de la loi salique, elles ont exercé plus que partout ailleurs leur pouvoir dirigeant sur les maîtres de l’État. Gil BlasOn pourrait même, je crois, prouver, l’histoire en main, que fort peu de politiciens ont échappé aux influences féminines. Dans notre patrie, principalement, pays de la loi salique, elles ont exercé plus que partout ailleurs leur pouvoir dirigeant sur les maîtres de l’État.

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Extrait de l’article « Réponse aux critiques de Bel-Ami », paru dans le journal Gil Blas, le 7 juin 1885:

J’ai voulu simplement raconter la vie d’un aventurier pareil à tous ceux que nous coudoyons chaque jour dans Paris, et qu’on rencontre dans toutes les professions existantes. Est-il, en réalité, un journaliste ? Non. Je le prends au moment où il va se faire écuyer dans un manège. Ce n’est donc pas la vocation qui l’a poussé. J’ai soin de dire qu’il ne sait rien, qu’il est simplement affamé d’argent et privé de conscience. Je montre dès les premières lignes qu’on a devant soi une graine de gredin, qui va pousser dans le terrain où elle tombera. Ce terrain est un journal. Pourquoi ce choix, dira~t-on ? Pourquoi ? Parce que ce milieu m’était plus favorable que tout autre pour montrer nettement les étapes de mon personnage ; et aussi parce que le journal mène à tour comme on l’a souvent répété. Dans une autre profession, il fallait des connaissances spéciales, des préparations plus longues. Les portes pour entrer sont plus fermées, celles pour sortir sont moins nombreuses. La Presse est une sorte d’immense république qui s’étend de tous les côtés, où on trouve de tout, où on peut tout faire, où il est aussi facile d’être un fort honnête homme que d’être un fripon. Donc, mon homme, entrant dans le journalisme pouvait employer facilement les moyens spéciaux qu’il devait prendre pour parvenir. Il n’a aucun talent. C’est par les femmes seules qu’il arrive. Devient-il journaliste, au moins ? Non. Il travaille toutes les spécialités du journalisme sans s’arrêter, car il monte à la fortune sans s’attarder sur les marches. Il débute comme reporter, et il passe. Or, en général, dans la Presse, comme ailleurs, on se cantonne dans un coin, et les reporters, nés avec cette vocation, restent souvent reporters toute leur vie. On en cite devenus célèbres. Beaucoup sont de braves gens, mariés, qui font cela comme ils seraient employés dans un ministère. Duroy devient le chef des Échos: autre spécialité fort difficile et qui garde aussi ses gens quand ils sont passés maîtres. Les Échos font souvent la fortune d’un journal, et on connaît dans Paris quelques échotiers dont la plume est aussi enviée que celle d’écrivains connus. De là Bel-Ami arrive rapidement à la chronique politique. J’espère, au moins, qu’on ne m’accusera pas d’avoir visé MM. J.-J. Weiss ou John Lemoine ? Mais comment me suspecterait-on d’avoir visé quelqu’un !

Article de Maupassant publié par Martin Pasquet, dans Maupassant, biographie, étude de l’œuvre. collection « Classiques », Albin Michel, Paris, 1993.

Escalas de evaluación para el título y el guión del trabajo

Aquí tenéis una propuesta para evaluar la tarea de confección del título del artículo y de la realización de un plan de trabajo previo a su elaboración. está disponible en formato pdf y odt por si lo queréis editar. esta misma plantilla la pueden utilizar los alumnos para orientarse en la realización de la tarea.

Bel-Ami : la presse

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Le monde de la presse est aussi lié aux mensonges. Voilà un livre très intéressant sur la presse dans Bel-Ami: «Realidad y ficción periodística en la obra Bel-Ami de Guy de Maupassant», de Ruth Rodríguez Martínez, revista Análisi 33, universidad Pompeu Fabra, Barcelona, 2006 p.171-179 et le livre de Gérard Délaisement , Maupassant journaliste et chroniqueur , ed. Albin Michel, Paris, 1956.