La novela Bel-Ami de Maupassant también ha inspirado al mundo de la música.
Aquí está el texto de la canción Bel-Ami de Tino Rossi, en la que la referencia a la novela es evidente:

Dans les salons, au temps de Maupassant,
Sur bel ami chaque femme en passant
Se retournait espérant la promesse
De son regard doux comme une caresse
Et sur les pas du tendre séducteur
Dont le renom fut de briser les coeurs
On entendait comme un frisson
Chanter cette chanson…
Bel Amant, Bel Amour, bel ami
Follement, chaque jour bel ami
Tu conduis sur tes pas
Une femme qui tout bas
S’est jurée de tomber dans tes bras
Ton pouvoir est si grand, bel ami
Ton doux charme a conquis
Tous les coeurs du grand Paris
Bel Amant, Bel Amour, bel ami
Si vous trouvez dans un livre oublié
De bel ami le vieux portrait fané
En souriant de son ancien panache
De son air vain, de ses belles moustaches
Si vous croyez encore que grand destin
Des beaux amants dont chacun se souvient
Sans bien comprendre, il vous faudra
Dire en riant, voilà…
N-i, ni, c’est fini, bel ami…
Reste ainsi dans l’oubli, bel ami…
Si tu fus adoré
Garde l’attrait du passé
Aujourd’hui tu parais démodé
En raillant ton portrait, bel ami
Le vieux temps qui semblait si joli
On se dit, plein d’ennui:
«Non vraiment, c’était donc lui?»
Bel Amant, Bel Amour, bel ami.
Y aquí está el texto de la canción «Je suis le plus beau du quartier » de Carla Bruni, que describe a un hombre que bien podría ser Georges Duroy, el protagonista de la novela:
Regardez-moi
Je suis le plus beau du quartier
J’suis l’bien aimé
Dès qu’on me voit
On se sent tout comme envouté
Comme charmé, hum
Lorsque j’arrive
Les femmes elles me frôlent de leurs
Regards penchés
Bien malgré moi, hé
Je suis le plus beau du quartier, hum, hum, hum
Est-ce mon visage
Ma peau si finement grainée
Mon air suave
Est-ce mon allure
Est-ce la grâce anglo-saxonne
De ma cambrure
Est-ce mon sourire
Ou bien l’élégance distinguée
De mes cachemires
Quoi qu’il en soit
C’est moi le plus beau du quartier, hum, mais
Mais prenez garde à ma beauté
A mon exquise ambiguïté
Je suis le roi
Du désirable
Et je suis l’indéshabillable
Observez-moi, hum, hum, hum
Observez-moi de haut en bas
Vous n’en verrez pas deux comme ça
J’suis l’favori
Le bel ami
De toutes ces dames
Et d’leurs maris
Regardez-moi
Regardez-moi, hum, hum
Je suis le plus beau du quartier
J’suis l’préféré
Mes belles victimes
Voudraient se pendre à mes lacets
Ca les abîme
Les bons messieurs, eux
Voudraient tellement m’déshabiller
Ca les obstine
Bien malgré moi, oui bien malgré moi
Je suis le plus beau du quartier, mais
Mais prenez garde à ma beauté
A mon exquise ambiguïté
Je suis le roi
Du désirable
Et je suis l’indéshabillable
Observez-moi, hum, hum, hum
Observez-moi de haut en bas
Vous n’en verrez pas deux comme ça
J’suis l’favori
Le p’tit chéri
De toutes ces dames
Et d’leurs maris
Aussi, oui

